Le jeu se joue à la première personne, et l’environnement graphique simule une interface classique de smartphone. Le joueur se fait « hacker » par un harceleur qui prends le contrôle du téléphone et lui fait passer des épreuves pour détruire un virus tout en donnant des clés pour éviter les comportements à risques sur les réseaux sociaux par exemple.
À la demande des jeunes lors des ateliers, des minis-jeux sont également inclus afin de rendre la partie ludique mais pédagogique. Il est tout à fait indiqué pour des ateliers en groupe car sa durée est programmée en ce sens. En effet il est possible de jouer, passer une épreuve, débattre du contenu, puis reprendre la partie là où on l’a laissée.